• Chapitre 5

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>

                Simbad me collait au basque, faisant peur à l'ex-loup. Je dois avouer que Wolfgang était plutôt content que Simbad s'en charge. Tom était fou : il me disait que je ne pourrais plus allait dans notre monde sans que l'on s'aperçoive etc...etc... Je commençais en avoir marre de ces recommandations ! Il ne pensait qu'à notre monde et à mon retour ! « Je ne veux pas rentrer dans notre monde ! Je suis si bien dans les jeux vidéos ! » lui dis-je un jour.

               

                Notre amitié en prenait un sacré coup. On commençais à peine à se réconcilié que le dragon du mage atterrit lourdement près du campement. « J'y vais ! Simbad et Wofgang iront avec moi. » Je m'approchais escortée de mes animaux. La bête me suivait des yeux. Il avait une de ses ailes à moitié arrachée, une plaie de la taille de Wofgang sur le coup et pour finir une patte cassée.

                Simbad riait.

                            « Pourquoi tu ris ?

                            -Il faisait son fier y a pas deux semaines !

                            -Et alors ? Il est mal au point ! Le moins qu'on puisse faire c'est de savoir ce qu'il lui est arrivé et le soigné si il s'averre inoffensif !

                            -Un dragon ! Inoffensif ! Tu es folle.

                            -Wolfgang ! Il est peut-être malheureux avec Pirann !

                            -Oui.

                            -Lequel de vous deux à répondu oui ?

                            -Aucun des deux. Je dois dire que j'envie tes deux amis.

                            -...

                            -...

                            -...

                            -J'adore ceux qui ont un sens de la conversation anormalement élevé.

                            -Je rêve ou le dragon nous parle ?

                            -On reprend ses esprits ? Bien au moins j'ai une meilleur pioche qu'avec le mage...

                            -Il t'as fait quoi pour que tu t'enfuis ?

                            -Blessé à ,presque, mort.

                            -Tu veux rire ? Le seul pacte auquel il tient le plus ?

                            -Depuis quand je te parle chaton ? Si tu veux finir roux dis-le je vais t'aider !

                            -Temps mort ! Je voudrais parler seule à seul avec le dragon !

                            -Terror. C'est mon nom.

                            -Ok ! Les deux autres au tapis !

                            -Grrrrrr

                            -Grrrrrr

                            -Pas de ça avec moi !

                            -Ils ne peuvent plus t'entendre.

                            -Pourquoi ?

                            -J'ai protégé notre discussion.

                            -Oh.... Pourquoi il t'a blessé ?

                            -Voulait me tuer.

                            -Pourquoi ?

                            -Je n'ai pas réussi à te tuer.

                            -C'est une bonne chose non ?

                            -Oui pour toi et moi et non pour le Mage et moi.

                            -Hein ?

                            -Je n'ai pas réussi à te tuer mais tu pourras me sauver. Mais c'est aussi mauvais pour moi car le mage ne te laissera pas briser le pacte sans rien faire. Il me recherchera et me punira !

                            -Comment punir un dragon ? Vous êtes les seuls animaux (excepté les autres animaux fantastiques) qui me font vraiment peur !

                            -C'est simple : torture mental.

                            -Comme quand Wolfgang avait mordu l'esprit de Simbad.

                            -Oui sauf que c'est les trois chats qui me griffent. J'étais épuisé après la torture et j'ai commis l'erreur de dire non. Il m' a blessé comme tu peux le voir.

                            -Je peux essayer de te soigner ?

                            -Oui je veux bien. Attention avec mon aile : elle est fragile ! »

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                Simbad se mit devant moi et Wolfgang m'attrapa le bas du jean. Ils ne voulaient pas que je soigne le dragon. Mais je ne pouvais pas le laisser comme ça ! Je les poussais pour leur faire comprendre que rien ne me feras changer d'avis.

                Je commençais par la patte : déboîtée. J'essayais de la replaçais. Au bout de vingt minutes d'effort elle était en place. L'aile allait être trop dur à soigner sans aide. Alors je cueillis des herbes soignantes avec Wolfgang pour cicatriser la plaie sur le cou. Les écailles étaient douces sous mes doigts. Je ne pouvais m'empêcher de regarder les crocs longs d'une trentaine de centimètre d'un blanc immaculé. Un frisson me parcourut l'échine. Les herbes que m'avaient montré Wolfgang ne marchèrent pas : la plaie continuait de saignée. Simbad et lui restaient en retrait mais je voyais qu'au moindre signe venant du dragon ils m'entraîneraient loin de mon ''patient''.

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                Une heure j'ai du attendre pour la cicatrisation complète de la plaie. Une heure le bras tendue en l'air pour tenir les herbes. Les crampes avaient pris d'assaut mes bras. « Je ne pourrais pas soigner ton aile toute seule. Il faut que tu m'accompagne dans le futur village. » Le dragon se leva sur ses quatre jambes. Son cou s'allongea. Il était haut d'environ 25m. Il devait chercher dans les 1000 tonnes de muscles...Simbad me tira en arrière par la manche. Tous les hommes du village arrivaient. Ils avaient la ferme intention de tuer le dragon. Celui-ci étendit son cou vers moi et m'arracha des crocs de Simbad. Il s'envola malgré son aile blessée.

                J'étais paniquée. Il m'avait eu : il m'emmenait chez Pirann ! Nous survolâmes la forêt, une plaine et une autre forêt et nous arrivâmes près des montagnes. Du village en reconstruction nous ne pouvions pas les voir malgré leurs immenses tailles.

                Il me déposa sur le sommet d'une des montagnes et m'abandonna. « Je ne voulais pas... Je suis obligé d'obéir... » Terror repartit chercher le mage. J'avais la ferme intention de ne pas me faire prendre. Pirann ou pas je partirais d'ici avant qu'ils n'arrivent. Mais comment ? La falaise était trop abrupte pour pratiquer une descente et le chemin descendant vers le sol était très mince.

               

                Une heure de descente par le chemin me permit d'entendre un étrange chant : quelqu'un devait être dans les parages. J'appelais le ou la chanteuse pour qu'il ou elle vienne m'aider mais la voix se tue. Je continuais doucement ma descente quand je vis Terror revenir. Je pouvais entendre la voix de Pirann crier victoire. Terror se posa au sommet et Pirann laissa sa rage éclater.

                Je courus malgré le risque de tomber. La voix de Wolfgang résonna dans ma tête. Il me disait de rester où je suis et de ne plus avancer même si Pirann était à 3 cm. « Pourquoi ? » « Tu es chez les elfes noirs ! Ils te tueraient une fois que tu auras fini de descendre la montagne ! » « Comment va Rarck ? » « Pourquoi tu veux le savoir ? » « Pour savoir ! » « Je vois très bien se que tu penses ! » « Pas un mot à quiconque ! » « Promis ! Mais il s'est enfui avec le reste de la meute... » « Quoi ? » « Oui et il a même essayé de m'emmener ! » « Oh ! Dis aux autres que j'arrive dans pas longtemps ! » « Non ! Les elfes ! Tu les oublies ! » « Ils ont quoi comme armes ? » « Des branches. » « Hi hi ! Ils vont essayer de me tuer avec de simples branches ? » « Lis mes pensées... Regarde ma mémoire... Regarde qui ils sont vraiment. »

                Wolfgang me guida à travers sa mémoire. J'étais devant ''la porte'' qui menait à son souvenir des elfes noirs. Elle s'ouvrit et Wolfgang s'effaça dans l'ombre de sa peur. J'entrais et je vis une scène comme si j'étais un fantôme. Des hommes entouraient une meute. Je me baladais entre eux et je vis les oreilles : elles étaient taillées en pointe. C'étaient des elfes. Ils avaient des bâtons entre les mains. De longs et fins bâtons. L'un d'eux s'avança et tua un des loup à une vitesse hallucinante. Le sang gicla. « Les louveteaux ou vous mourrez tous. » Les loups grognèrent et tous les elfes s'élancèrent et tuèrent tous les loups sans exception. Ils n'avaient pas remarqué le petit louveteau cachait sous les racines d'un arbre. Il avait tout vu. Les autres louveteaux de la portée sortir de leur abri pour voir leur parents... Tous morts. Les elfes ramassèrent les louveteaux et partirent telles des ombres dans la nuit. Aucune étoiles ne brillaient comme pour porter le deuil de la meute. Je sortis de la mémoire de Wolfgang et coupa le contact. Je devais m'enfuir. La nuit tombait et Pirann s'approchait dangereusement.

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                Aucune étoiles ne brillaient dans le ciel. Comme dans le souvenir de Wolfgang. Une ombre à droite se déplaça. Un rire retentit à gauche. Les elfes noirs m'encerclaient. Je dégainais mon épée. Faible défense devant leur puissance. « Abandonne. » Un frisson me parcouru. « Tu as peur ? Tu n'es pas si idiote que ça alors ! » La voix me narguait. « Montre toi au grand jour ! Que je vois si vous êtes si forts ! » Un immense rire surgit de partout en même temps. « Tu vas le regretter ! Mais d'accord je me montre. » Un elfe habillé en noir à la peau blanche apparut comme sortit de nulle part. « On regrette seulement quand ce sont les autres qui choisissent à notre place. » Un petit sourire apparut furtivement. « Suis-moi et nous pourrons nous battre si tu y tiens ! » J'esquissais de la tête.

                Nous avançâmes dans la forêt. J'essayais de voir le reste des elfes mais sans succès. Mon guide se retourna brutalement vers moi et faillit me heurter à lui. « En garde ! » Et il me cogna la hanche avec un bâton. Il m'en donna un deuxième. Il baissa sa garde une fraction de seconde car il avait entendu Pirann. J'en profitais pour raccourcir son arme d'un bon mètre. Il me prit le poignet et me fit basculait à terre. Il ne connaissait pas la cour de récré au collège : une balayette quand on est à terre est toujours efficace ! L'elfe ne semblait pas le savoir car il était à porté de ma balayette. Il tomba à son tour mais le temps que je me relève j'étais de nouveau à terre. Cette situation commença à me taper sur le système. Je ramassais un bâton et mon épée et me releva. Je l'attaquais des deux côtés en même temps grâce à mes armes mais il esquiva tous les coups sans aucun effort.

                Deux elfes surgirent pour me plaquer au sol. Soit il n'était très loyal en combat singulier ou il y avait un problème. Un troisième elfe arriva et parla à mon adversaire :

                            « Un homme fouille la forêt et nous pensons qu'il veut la fillette.

                            -Je n'ai pas fini de combattre.

                            -Je le sais mais c'est Pirann.

                            -Et alors ? Nous le battons à chaque fois ! C'est cette petite est une de ses amie nous devons la tuer pour lui montrer à quelle point nous sommes puissants !

                            -Hi hi !

                            -Il y a quoi de drôle ? Me demanda mon adversaire. Ses yeux plongeaient dans les miens. Des yeux noirs. Très beaux yeux noirs.

                            -Pirann est loin d'être mon ami ! Je dirais plutôt que c'est contraire...

                            -Puisque tu n'es pas son amie pourquoi vouloir traverser notre forêt ?

                            -Je pensais pouvoir traverser votre forêt pour semer ce pot de super glu !

                            -De la glu ?

                            -Y a pas de ça dans votre monde ?

                            -Non.

                            -C'est un liquide qui permet de coller deux objets.

                            -Ah... Mais tu devrais savoir que nous n'épargnons personne !

                            -Je ne le sais que depuis quelques minutes.

                            -Tu veux rire ?

                            -Non ! Je débarque d'un autre monde.

                            -Elle dit vrai ! Nos espions l'ont repérés il y a peu.

                            -La ferme toi ! Et que fais-tu ici si tu débarque d'un autre monde ?

                            -J'ai une mission à accomplir.

                            -Bien... Chacun doit faire se qu'il souhaite mais traverser notre forêt est suicidaire !

                            -Peut-être mais je peut être utile ! »

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                Des rires fusèrent de partout. Je rougis sous l'effet de la moquerie. Tous les elfes apparurent et se moquèrent de plus belle.

                            « Au fait ! Comment t'appelles-tu ?

                            -Mon vrai nom ou comment tous me nomment ?

                            -Les deux.

                            -Alicia est mon vrai prénom. La Louve est mon surnom !

                            -Comment oses-tu te moquer de nous. Tous les rires s'étaient tus.

                            -Mais je me moque pas ! La Louve c'est moi !

                            -Tu mens ! La vrai Louve est morte ! Tuée par Terror.

                            -Par Terror ? Rien que ça ! Je suis bien en vie !

                            -Où es ton loup si tu dis vrai ?

                            -Saliako est au village qui est en reconstruction.

                            -Saliako faisait partit d'une meute que nous avons tué. Il n'est pas en vie.

                            -Wolfgang vous connaissez ?

                            -Bien entendu !

                            -Wolfgang est Saliako.

                            -Impossible !

                            -Si ! »

     <o:p></o:p>

                Un bruit interrompit notre discussion (plutôt dispute). Trois elfes encadraient Pirann. Il était vert de s'être fait prendre ! « Tiens tiens ! Pirann ! Quelle malchance t'amène ici ? » Pirann ne pouvait pas me voir car les deux elfes qui me plaquaient l'empêchait de me voir. « La Louve est entrée dans ma forêt. » L'elfe le cogna si fort que la tête de Pirann semblait blanche par rapport à la marque sur son visage. « Cette forêt ne t'appartient pas. Et tu cherches La Louve ? » Pirann fit signe que oui. L'elfe fit signe à ceux qui me scotché à terre de me laisser me relever. Bien entendu Pirann pu me voir. « C'est elle la garce ! Cette saloperie a voulu me prendre mon Terror ! Cette peste mérite un châtiment ! » Je me résolue à regarder droit devant moi. « Réponds peste !Avoues ton crime. » L'elfe me fit signe d'approcher. Je m'exécutais. « Désolé pour notre traitement envers toi... Terror était trop heureux : il ne pouvais que t'avoir tué ! » Au lieu de lui répondre je le me retourna vers Pirann. Trop heureuse de pouvoir profiter de la situation.

                            « A genoux Pirann !

                            -Jamais !

                            -Si tu veux ! Mais c'est pas moi qui risque de mourir !

                            -Moi non plus !

                            -Peut-être pas de la main des elfes mais de la mienne c'est pas dit... »

     <o:p></o:p>

                Pirann enrageait car il ne pouvait rien faire. L'elfe m'invita à le suivre dans le plus profond de la forêt et à l'abri des arbres il m'empoigna par le taille et je retrouvais instantanément dans un village où des elfes noires discutaient, nettoyaient... pour arriver si vite il n'y avait que deux solutions : soit il se téléportait soit il se déplace vite, très vite !

                Je le suivis jusque dans un hutte dans un arbre. Au fond de la pièce il y avait un trône. Il s'assit dessus.

                            « Encore pardon pour tout à l'heure !

                            -Y a pas de mal !

                            -J'ai oublié de me présenter : Argonn

                            -Enchantée Argonn.

                            -Tu es ici dans le village des elfes noirs. Nous vivons ici depuis toujours.

                            -Mmm...

                            -Nous ne laissons presque aucun être vivant en vie dans notre forêt car notre village renferme des trésors inestimables. Les loups normaux ne doivent rien craindre de nous mais les loup penseurs sont obligatoirement tués. Leur louveteaux sont élevés par nos dresseurs pour des raisons qui te resteront inconnues.

                            -Ok....

                            -Malheureusement... Notre peuple est obligé de s'enfuir.

                            -Pourquoi ?

                            -Il est pourchassé par Terror.

                            -Je peux m'occuper de lui !

                            -Tu ai incapable de me battre alors si tous nos guerriers sont inefficaces contre lui tu n'as aucune chance !

                            -On parie ?

                            -Celui qui gagne remporte quoi ?

                            -Si je gagne tu me montres comment accéder à votre village. Bien entendu l'information ne sera transmise qu'à mon meilleur ami qui est de mon monde et Wolfgang alias Saliako et Simbad.

                            -Mais si tu perds nous laisserons Terror s'occuper de toi.

                            -D'accord ! Où est Terror ?

                            -Presque à la frontière de notre village. Va à la porte ornée d'un rubis et sors. Continue tout droit et tu seras devant lui. Nous resterons près de toi pour vérifier si tu y arrives vraiment.

                            -Sans problème ! »

     <o:p></o:p>

                Arrivée à  la porte en question je vis que le rubis faisait au moins 5 mètres de haut et 2 de large ! Je passais la porte est continua tout droit. Une heure de marche suffit à me faire tomber nez à gueule avec Terror.

                            « Salut ! Tu te souviens de moi ?

                            -Vous êtes inoubliable !

                            -Trop gentil.

                            -Je suis obligé de vous tuer.

                            -Je sais mais avant d'en venir à ce point très intéressant je voudrais te demander une faveur.

                            -Je ne peux pas l'exaucer.

                            -Je t'ai soigné. Je t'aies fait confiance...

                            -Je sais.

                            -S'il te plaît : ne reviens plus dans cette forêt ! Ne cherche plus le village des elfes noirs !

                            -Pirann me torturera !

                            -La torture ne sera rien par rapport à leur châtiment.

                            -Ils savent mon point faible ?

                            -Je n'ai pas cafté mais je peux le faire si je n'ai pas ta parole de dragon que ne reviendras plus dans la forêt.

                            -Promis.

                            -Merci ! »

     <o:p></o:p>

                Terror s'éleva dans les airs. Argonn s'approcha et me dit que j'avais réussi. « J'espère que vous êtes télépathe ! » Il fit signe que oui et j'en fus soulagée !

                Le retour fut plus rapide car l'un des gardes m'appris à me déplacer comme les autres elfes noirs. Dans la hutte d'Argonn m'attendait une surprise : Wolfgang ! Il sauta sur moi. « Wolfgang ! Mon tout beau ! Mon chéri ! » « Tu m'as manqué et désobéis ! » « Je suis en vie et je vais savoir comment atteindre leur village ! » « Non ? » « Si si !! écoute ! »

                            « Pour te remercier de nous avoir débarrasser de Terror nous allons mettre dans ta mémoire l'emplacement de notre village.

                            -Merci ! Et si Terror revenait utilisez vos dons de télépathie pour le torturer. Essayez de donner des coups de sabres à son esprit.

                            -Compris ! Mais je me permets de te demander au nom de tous de rester ici le temps de notre fête en ton honneur.

                            -Dis oui ! Les fêtes des elfes noirs sont réputées extrêmement bien et elles sont impossibles à voir à moins d'être un elfe ! Et depuis tout petit je rêve d'en voir une !

                            -Si tu insistes... »

     <o:p></o:p>

                La fête allait avoir lieu l'après-midi et nous étions le début du la matinée. On m'avait conduite dans une hutte où je pourrais dormir et mettre la tenue obligatoire pour la fête. Avant d'aller me coucher je regardais la tenue étalée sur un coffre en bois d'ébène : une tenue de combat. « Peuple de guerrier depuis la nuit des temps les elfes noirs sont fidèles à leur promesse et à leur chef. Alicia, tu devras peut-être combattre contre l'un deux. » « Oui peut-être mais j'ai ma petite idée de comment je vais faire ! » « Je te fais confiance mais si l'un d'eux ose te blesser il n'aura pas le loisir de vivre. » « Je te fais confiance ! » Une épée à la lame fine et aiguisée était plantée dans un bloc de pierre. Je me doutais que la lame avait fait la fente dans laquelle elle était logée.</o:p>


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