• Chapitre 8

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>

                Une fois revenue dans le monde qui m'avait accueillie je demandais à Wolfgang de déposer le sac dans le village et de me rejoindre à l'orée de la forêt qui entourée le village. Une vaste plaine séparée les deux forêts. Quand sa tâche fut achevée il me rejoignit. En utilisant la technique de déplacement que j'avais apprise j'avais moins de deux jours pour être sure de pouvoir convaincre les elfes d'enlever Tom et de le ramener dans leur village. La marche commença. Une journée sans s'arrêter c'est dur ! Mais Wolfgang me soutenais.<o:p></o:p>

                            « Penses à Tom ! Il va adorer voir le fête !<o:p></o:p>

                            -Et si il n'aime pas ? J'aurais l'air de quoi ?<o:p></o:p>

                            -Écoutes : si il n'aime pas y a un problème ! Franchement, c'est pas trop bon le buffet ? Et le combat d'ouverture est toujours génial ! Et le final de la nuit....<o:p></o:p>

                            -Je sais mais... on a quand même certaines choses sur lesquelles ont n'est pas d'accord !<o:p></o:p>

                            -....... C'est un idiot si vraiment il n'aime pas !<o:p></o:p>

                            -J'ai envie de faire demi-tour ! Je suis crevée ! Faisons au moins une pause !<o:p></o:p>

                            -Non ! Nous devons arriver très vite ! »<o:p></o:p>

                <o:p></o:p>

                Je me demandais toujours pourquoi Simbad n'était pas au village mais Wolfgang ne me répondit rien à part qu'il espérait qu'il n'avait pas suivi Terror quand j'ai était enlevée car lui, les hommes l'avaient tout de suite ramené au village et enfermé dans une maison jusqu'à ce que les elfes l'enlèvent.<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

                La nuit et la journée de marche forcée était enfin récompensée : la porte au rubis géant était enfin visible ! On me l'ouvris aussitôt que je le demandais. La nuit venait de tombée et les elfes s'affairaient à la préparation de la fête. Des chevaux étaient accrochés aux arbres. Des arc et des flèches ainsi que des épées étaient lavés. Argonn vint à ma rencontre sur son cheval noir.<o:p></o:p>

                            « La fête n'est que dans trois jours !<o:p></o:p>

                            -Je sais... Un imprévu fait que je devais arriver avant.<o:p></o:p>

                            -Lequel ?<o:p></o:p>

                            -Mon ami Tom est légèrement fâché contre moi et je voulais l'emmener voir la fête.<o:p></o:p>

                            -Il y participera si tu le veux...<o:p></o:p>

                            -Argonn ! Argonn !<o:p></o:p>

                            -Quoi ?<o:p></o:p>

                            -Un garçon d'environ 14 ans a suivi la Louve depuis qu'elle est entrée dans notre forêt.<o:p></o:p>

                            -De quoi il a l'air ?<o:p></o:p>

                            -Brun. Des habits bizarres....<o:p></o:p>

                            -C'est lui ?<o:p></o:p>

                            -Oui ! » répondis-je<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

                Tom fut pris par surprise par les elfes noirs. Pendant que Tom essayait d'échapper à ces « ennemis » du moment je choisissais un cheval. Il était blanc et il s'appelait Tornade. Sachant monter, je suis allée avec Wolfgang à la rencontre de Tom. Les chevaux elfiques étaient meilleurs que les chevaux normaux : plus rapides, plus endurants mais moins dociles...<o:p></o:p>

                Les elfes noirs s'amusaient bien : ils menaient Tom en bourrique. Pauvre Tom ! Wolfgang décida de lui faire peur et de le rabattre vers moi. Sa ruse ne marcha pas : Tom le reconnut. Moi j'arrivais dans son dos. Tornade était très silencieux quand il marchait, pratique quand on veut suivre un homme à cheval. <o:p></o:p>

                            « Hum hum !<o:p></o:p>

                            -Ahhhhlicia ?<o:p></o:p>

                            -Ça va ? Ils ne t'ont pas fait trop peur ?<o:p></o:p>

                            -De qui ?<o:p></o:p>

                            -Les elfes noirs !<o:p></o:p>

                            -Comprends toujours pas !<o:p></o:p>

                            -C'est bon vous pouvez vous montrer ! Et quand j'eus fini de dire la phrase les deux elfes qui devaient ramenés Tom apparurent.<o:p></o:p>

                            -Ils n'étaient que deux ? La honte !<o:p></o:p>

                            -Ils sont sympa t'inquiète !<o:p></o:p>

                            -Et que fais-tu à traîner avec eux ? <o:p></o:p>

                            -Ils m'ont légèrement beaucoup sauvée de Pirann !<o:p></o:p>

                            -Et pourquoi tu retourne les voir ?<o:p></o:p>

                            -J'ai été invitée.<o:p></o:p>

                            -Quoi ? »<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

                Mais j'étais déjà repartie. L'elfe noire qui m'avait donné les habits de fête m'attendait. Elle se présenta : elle s'appelait Orna et elle était la sœur d’Argonn. Elle me dit que je devais mettre une robe pour le banquet et là ce fut le drame. Moi et les robes nous étions ennemies jurées depuis toujours. Moi portant une robe c'était produit qu'une seule fois dans ma vie et ce jour là je me suis pris la pire gamelle dans un mariage de tout les temps. Autant dire que je préférais ne pas participer à la fête qu'en porter une ! Mais Orna me dit que tout irait bien et que personnes à part elle ne me verrait en robe. <o:p></o:p>

                            « Mais si je dois mettre une robe c'est pour la fête !<o:p></o:p>

                            -Oui.<o:p></o:p>

                            -Et tout le monde ira à la fête !<o:p></o:p>

                            -Oui.<o:p></o:p>

                            -Je comprends pas...<o:p></o:p>

                            -C'est juste pour savoir si tu pouvais en mettre une au cas où.<o:p></o:p>

                            -Au cas où quoi ?<o:p></o:p>

                            -Au cas où les autres peuples non humains se joindraient à nous.<o:p></o:p>

                            -Comme qui ?<o:p></o:p>

                            -Les fées, les nains, les licornes...<o:p></o:p>

                            -Mais les robes c'est l'horreur !<o:p></o:p>

                            -Mais non mais non !<o:p></o:p>

                            -Et pourquoi seulement si ils participent ?<o:p></o:p>

                            -Une femme ne portant pas de robe pour une fête est choquant dans d'autres peuples.<o:p></o:p>

                            -Seulement les femmes pas les elfes ?<o:p></o:p>

                            -Les femelles si tu préfères ! Moi aussi je devrais en mettre une.<o:p></o:p>

                            -O.K. d'accord... »<o:p></o:p>

                <o:p></o:p>

                Bien entendu quand Orna tourna le dos j'ai filé dans l'autre sens elle me suivit et me rattrapa sans aucun effort. Elle me conduit à la hutte dans l'arbre que l'on m'avait été prêtée et sur le coffre, bien à plat, se trouvait une très belle robe blanche brodée de perles en diamants. Jamais je n'avais imaginé qu'une robe aussi belle puisse exister mais elle était là et je devais l'essayer. Orna sortit de la hutte pour que je puisse la mettre. Elle en profita pour mettre la sienne. Quand je sortit elle portait une robe noir avec un collier de diamants noirs.<o:p></o:p>

                Comme une partie de la fête allait se dérouler à cheval elle me fit monter Tornade. Je lui fis remarquer non sans ironie que tout ceux qu'on croisait me voyait en robe. Tout ce qu'elle me dit en retour était de détacher mes cheveux : elle devait me les coiffer plus tard.<o:p></o:p>

                            « Tu m'avais dit que personnes ne me verraient en robe !<o:p></o:p>

                            -Pendant la fête.<o:p></o:p>

                            -Tu sais que tu m'énerve ?<o:p></o:p>

                            -Vire à droite. Et oui je sais que je t'énerve.<o:p></o:p>

                            -Et tu veux que, en plus, je me détache les cheveux ? Tu es folle !<o:p></o:p>

                            -Tu vois le parcours d'obstacle là-bas ? <o:p></o:p>

                            -Oui mais je ne te parle pas de ça !<o:p></o:p>

                            -Il faut que sois capable de le faire. <o:p></o:p>

                            -Et si je n'y arrive pas ?<o:p></o:p>

                            -Tu ne pourras pas participer au meilleur de la fête.<o:p></o:p>

                            -Pourquoi tu râles ? Elle te va bien ta robe !<o:p></o:p>

                            -N'en rajoute pas !<o:p></o:p>

                            -Et je ne t'ai jamais vu les cheveux détachés !<o:p></o:p>

                            -Tu me casses les pieds ! Wolfgang non !!! »<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

                Il m'avait arraché mon élastique et mes cheveux pouvaient voler derrière moi sans que je puisse y remédier. Je me mit à pourchasser Wolfgang sur une certaine distance et je me suis retrouvée devant un cortège un peu spécial : des centaures arrivaient par dizaines. « Désolée ! » Je fis immédiatement demi-tour. Orna me demanda pourquoi j'avais l'air si gênée et je lui répondis que je me suis retrouvée devant un cortège de centaures. Elle me dit qu'il valait mieux que j'apparaisse en robe devant eux qu'habillée normalement.<o:p></o:p>

                <o:p></o:p>

                De retour au village des elfes noirs Orna me fit une coiffure plus officiel. Elle me servit comme excuse que je ne pouvais me présenter comme cela à la fête. La coiffure qu'elle me fit était très belle mais très longue à faire et à défaire : c'était un chignon de toute petite tresses qui se comptent par centaines. Les tresses sortaient du chignon et me tombaient dans le dos.      <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

                La fête commença juste après l'arrivée des centaures : « Tout au long de l'année nous avons élevé des bêtes puissantes. Des bêtes si puissantes que peu d'êtres peuvent leur tenir tête. Elles ont été dressées de manières à ce qu'elles tuent toutes personnes voulant leur peau. Personne n'est au courant de l'espèce avant aujourd'hui. Et pour tout dire vaut mieux le savoir tout de suite, la règle est de prévenir les chasseurs : ce sont des bêtes vicieuses, enragées, prêtent à tout pour survivre. Ce sont des ours kalmar. Bonne chasse ! Des armes vous seront fournies à la sortie du village. » Un frisson parcourut l'assistance. Wolfgang gémit. Je montait Tornade quand Tom arriva : « Je ne participe pas à la chasse mais les ours que tu dois chassés sont de la taille d'un cheval et ils sont très puissants. Tu devras en ramener un vivant et en tuer autant que tu veux tant que tu les ramène. Et surtout : bonne chance et excuse moi de ne pas t'avoir fait confiance ! » <o:p></o:p>

                <o:p></o:p>

                Tornade était nerveux. Les centaures aussi. Orna restait près de moi comme pour me protéger. L'épée que l'on m'avait confiée était elfique. Fine et aiguisée à l'extrême. Je commençais à avoir peur : aucun ours ne se faisait entendre. Je regardais le sol en espérant voir une trace quand je me suis souvenue que certain ours pouvait grimper aux arbres. Je levais immédiatement la tête et une ours de la taille d'un cheval tomba au sol. Il était furieux : une flèche s'était fichée dans une de ses pattes. Trois autres ours le rejoignirent. Orna me fit signe de battre en retraite. Mais je n'étais pas très obéissante et comme Wolfgang n'avait pas été autorisé à venir avec moi…<o:p></o:p>

                L'ours blessé se mit sur ses pattes arrières et grogna. Je descendis de Tornade, sortis l'épée de son fourreau et fis une entaille dans la peau de l'ours. Il grogna de plus belle mais un animal grogna encore plus fort. Ce n'était pas les autres ours. Les ours gémirent comme des chiens battus. La chose leur faisait peur. Quelque chose ronronnait derrière moi. Quelque chose d'assez fort et grand pour faire peur aux ours. « Je t'ai manqué ? » La voix de velours que j'entendais me fis immédiatement pensé à Simbad. <o:p></o:p>

                            « Tout juste !<o:p></o:p>

                            -Où étais-tu ? Pensais-je en le serrant dans mes bras<o:p></o:p>

                            -Je suivais Rarck mais j'ai intercepté tes pensées. Je me suis précipité dans ta direction.<o:p></o:p>

                            -Simbad ! Tu aurais du rester avec Wolfgang !<o:p></o:p>

                            -Les villageois m'ont chassé.<o:p></o:p>

                            -Pourquoi ?<o:p></o:p>

                            -Je ne sais pas... Mais je ne te lâche plus !<o:p></o:p>

                            -Mais oui bien sur !<o:p></o:p>

                            -Tu as un sens de l'ironie assez particulier....<o:p></o:p>

                            -Tu n'as rien au moins ?<o:p></o:p>

                            -Deux trois égratignures ! Et..... C'est quoi cette choses ?<o:p></o:p>

                            -Un cheval.<o:p></o:p>

                            -Oui mais elfique. Il grogna en direction de Tornade<o:p></o:p>

                            -Simbad ! Ils sont de mon coté !<o:p></o:p>

                            -De qui ?<o:p></o:p>

                            -Les elfes !<o:p></o:p>

                            -Ils ont essayaient de te tuer non ?<o:p></o:p>

                            -Ils m'ont fait participé à leur fête !<o:p></o:p>

                            -Tu as vu Youzanne ?<o:p></o:p>

                            -Oui... Wolfgang aussi.<o:p></o:p>

                            -Ramenons ses quatre peluches à leur village que je puisse écraser ce louveteau ! »<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

                J'étais heureuse de retrouver Simbad. Les quatre ours ne firent pas d'histoire : ils nous suivirent comme des petits chiots ! Wolfgang me sauta dessus quand il me vit au loin. Mais quand il vu Simbad sa joie disparut aussitôt. « En voilà deux qui sont heureux de se retrouver ! » Mais ils ont du m'entendre penser car ils me regardèrent tous les deux. Argonn arriva avec Tom. Argonn regarda Simbad droit dans les yeux et celui-ci feula. « Belle bête. » Tom lui examinait les quatre ours. Ils étaient mort de trouille. Orna arriva et fut étonnée de voir Simbad. Elle dit quelques mots en privé à son frère et revint me voir. « Suis-moi sans le tigre. » Un étrange sentiment s'empara de moi : un sentiment de peur. La hutte d'Orna se trouvait dans l'arbre voisin de ma hutte. Wolfgang nous suivait. Lui aussi avait un pressentiment. <o:p></o:p>

                            « Sais-tu comment s'appelle le tigre qui te suivais ?<o:p></o:p>

                            -Simbad pourquoi ?<o:p></o:p>

                            -Non... Ce n'est pas lui.<o:p></o:p>

                            -Tu viens de dire quoi ?<o:p></o:p>

                            -J'ai du me tromper de tigre.<o:p></o:p>

                            -Je comprends pas.<o:p></o:p>

                            -J'ai rencontré un tigre qui n'avait pas de nom il y a quelques jours et il appartient à quelqu'un d'important.<o:p></o:p>

                            -Alors c'est bien Simbad.<o:p></o:p>

                            -C'est à mon tour de ne pas comprendre.<o:p></o:p>

                            -Je lui ai donné un nom.<o:p></o:p>

                            -Aïe...<o:p></o:p>

                            -Tu disais ?<o:p></o:p>

                            -Rien... »<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

                La première partie de la fête était finie. La viande d'ours était délicieuse ! Mais pas de trace de Simbad. Wolfgang partit à sa recherche et il revint cinq minutes plus tard. « Viens vite ! » Le manque d'informations et le silence de Simbad m'inquiétais au plus au point. Au pied de l'arbre où se trouvait le trône des elfes se tenait Simbad. Il était attaché avec une solide chaîne. A mon approche il se leva mais quatre elfes se précipitèrent vers lui pour le faire asseoir. « Arrêtez tout de suite !! » Surpris ils se retournèrent pour voir qui avait donné l'ordre. Ils s'écartèrent quand ils me virent l'épée à la main. Mais je ne savais pas qu'Argonn et le chef des centaure me regardaient de loin. D'un coup d'épée la chaîne fut brisée. <o:p></o:p>

                Le chef des centaures arriva au galop pour attraper le bout de chaîne qui était attachée au collier de fer de Simbad.<o:p></o:p>

                            « Excusez moi mais ce tigre n'est pas le votre !<o:p></o:p>

                            -Justement si !<o:p></o:p>

                            -Veuillez lâcher cette chaîne !<o:p></o:p>

                            -Alicia laisse.<o:p></o:p>

                            -Mais ce tigre est le mien !<o:p></o:p>

                            -Non. Il appartient au chef des centaures Maximus.<o:p></o:p>

                            -Désolée de vous dire que ce tigre m'appartient car j'ai fait un pacte avec lui !<o:p></o:p>

                            -Comment avez-vous osée ?<o:p></o:p>

                            -Maximus, elle ne pouvait pas savoir !<o:p></o:p>

                            -Savoir quoi ?<o:p></o:p>

                            -Que ce tigre s'est échappé du ''zoo'' de Maximus.<o:p></o:p>

                            -Échappé ou non il m'appartient.<o:p></o:p>

                            -Argonn, je n'est rien contre tes elfes mais celle-ci m'énerve !<o:p></o:p>

                            -Moi ? Une elfe ? C'est la meilleure !<o:p></o:p>

                            -Maximus j'ai l'honneur de vous présenter la Louve. La voix neutre d'Argonn m'inquiétais un peu<o:p></o:p>

                            -La Louve ? Rien que ça ?<o:p></o:p>

                            -Simbad dis-lui que tu m'appartiens !<o:p></o:p>

                            -Ce tigre n'est pas un tigre penseur !<o:p></o:p>

                            -Mais si !<o:p></o:p>

                            -Je ne leur ai jamais montré ce don...<o:p></o:p>

                            -O.K... Simbad veux-tu leur montrer ta véritable nature ?<o:p></o:p>

                            -Bien. Je suis un tigre penseur et j'appartiens à Alicia.<o:p></o:p>

                            -Non c'est vrai ? <o:p></o:p>

                            -Tu te mets à l'ironie maintenant louveteau.<o:p></o:p>

                            -Chaton fugueur chaton mort !<o:p></o:p>

                            -Arrêtez !<o:p></o:p>

                            -Je vous provoque en combat singulier !<o:p></o:p>

                            -Que...Quoi...?<o:p></o:p>

                            -C'est de la folie Maximus !<o:p></o:p>

                            -Ce tigre est le mien et elle n'a pas l'air de vouloir le comprendre. Underfor est mon tigre !<o:p></o:p>

                            -C'est quoi ce délire ?<o:p></o:p>

                            -Alicia.... Maximux viens de dire le premier nom de Simbad.<o:p></o:p>

                            -J'ai jamais accepté ce nom et je déteste la captivité !<o:p></o:p>

                            -Underfor ! Reste assis !<o:p></o:p>

                            -Tu n'es pas mon maître !<o:p></o:p>

                            -Simbad assis.<o:p></o:p>

                            -Mais...<o:p></o:p>

                            -Pas de mais qui tienne. Maximus veut un combat singulier Maximus aura un combat singulier !<o:p></o:p>

                            -Enfin je retrouve l'esprit des elfes noirs !<o:p></o:p>

                            -Et pour la dernière fois je ne suis pas une elfe mais une humaine !<o:p></o:p>

                            -Mais oui bien sûr !<o:p></o:p>

                            -Maximus elle dit vrai.<o:p></o:p>

                            -Argonn : la politesse est de ne pas contredire un plus puissant que soit et j'espérais pouvoir le lui inculquer. »<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

                Je dégainais mon épée. Argonn claqua des doigts et un cercle de feu empêchait toutes intrusions pouvant interférer le combat. Simbad avait de nouveau attaché. Il se trouvait à l'intérieur du cercle ainsi que Wolfgang et celui-ci était aussi attaché. Je faisait beaucoup moins ma fière mais je devais le battre. Malheureusement  quand je vis la taille de la lance de Maximus je me suis dit que jamais je pourrais toucher ce cheval à moitié humain. Quand tous les elfes et centaures furent en place Argonn lança une phrase un peu intrigante : « Quand deux combattants veulent la même chose ils se battent. Le gagnant remporte la chose. Même quand celle-ci interfère pour l'autre. »<o:p></o:p>

                Je sentais que ma robe allait me gênait et comme j'avais un jean et un T-shirt en dessous j'enlevais cette robe plus que gênante. Maximus était choqué : je ne portais pas de robe devant lui. Il lança sa lance vers moi et ne pus y échapper de justesse. « Simbad l'a dit lui-même ! Abandonnez ! C'est le mien ! » Il rua et galopa droit sur moi. Mes phalanges blanchirent tellement je serrais mon épée. Je la levais mais il stoppa net et il ne fut pas embrocher. « Vous êtes folle ! Vous allez mourir et vous le mériterez... »<o:p></o:p>

                Pendant qu'il parlais je lui fis une balayette mais seulement ses pattes arrières étaient toujours debout. Maximus attrapa sa lance et faillit me tuer. J'ai bien dit faillit car Simbad et Wolfgang avaient brisé leur chaînes pour venir me secourir. Maximux fut dépité de voir que son Underfor alias Simbad (ou Simbad alias Underfor) me secourait moi et pas lui. « Je vous l'avez dit que ça ne servait à rien ! Mais on ne m'écoute jamais ! » <o:p></o:p>

                Soit il est mauvais perdant soit il tenait vraiment à reprendre Simbad mais quoi qu'il en soit il attrapa les deux chaînes et ne garda que celle tenant Simbad. « Il m'appartient : je l'ai capturé moi-même. » Là je ne sais pas vraiment ce qui c'est passé. Le trou noir. Mais apparemment j'aurais mis Maximus K.O. d'un seul ''coup''. Personne n'osait me dire comment j'avais fait. Mais Orna me dit seulement que j'étais une très bonne télépathe. Va savoir ce que je lui avez fait...

    </o:p>

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