•  Chapitre 5 : La disparition de Tom Nook<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    Je voyais clairement le dernier coup de blues de Nook... Il m'avait parlait de sa vie à la ville. <o:p></o:p>

    C'était donc lui ! *m'écriais-je*<o:p></o:p>


    Je courus dehors sans prendre le temps de fermer ma porte d'entrée. Je courus à perdre haleine jusqu'à l'hypernook encore ouvert. J'entrais en trombe. Pas de Nook. La seule chose d'organique dans cette pièce, à part les fleurs, était l'immense flaque rouge que je devinais être du sang. je montais quatre à quatre au premier. Personne. Et si je mettais trompée ?

    La nuit fût très longue ; je l'avais passée à ratisser la ville, à déterrer tout ce qui pouvait l'être... Mais pas de Méli, pas de Mélo et pas de Nook. Je rentrais chez moi abattue... J'ai eu la surprise de voir Layette sur mon canapé. <o:p></o:p>

    Layette ?!
    Je n'avais pas le courage de dormir chez moi...
    Ce n’est pas grave !
    Tu sais... Cousette était partie boire un café... pour la première fois, elle était partie boire un café...<o:p></o:p>


    Je la consolais en lui disant que je savais exactement ce qu'elle ressentait. <o:p></o:p>

    Ce n'est donc pas Nook... *pensais-je, assise sur la plage* Qui d'autre à par lui a vécu en ville ? Plus j'avance moins je m'approche !<o:p></o:p>


    Cette conclusion me rendait folle de rage ! Je voulais trouver l'assassin de Dalma coûte que coûte mais... Tous les événements se liguent contre moi ! Si seulement Cousette était en état de parler !

    Deux jours avaient passés et Cousette était toujours dans le coma. Et cet arnaqueur -pardon, assureur ET arnaqueur- de Lionel en profita pour me demander si j'avais une assurance contre les agressions. Je partis en le laissant devant chez moi pour me diriger sur la tombe de Dalma où une rose noire avait poussée. <o:p></o:p>

    Je n'y arrive plus ! Je désespère de trouver celui ou celle, n'écartons personne, qui a osé de tuer... Tu sais quoi ? Je vais te faire un compte rendu de mes dernières trouvailles et peut-être aurais-je une illumination !
    ...
    C'est vrai que les tombes sont muettes... *je riais nerveusement* Donc, tu es la première a avoir été tuée, puis la tentative d'assassinat de Cousette. Entre temps, j'ai trouvé un journal intime et tout le personnel du magasin a disparu dans la nature ! En plus, je peux rajouter un suspect sur la liste : Lionel... Tout le monde, ou presque, sait qu'il est de mèche avec Rounard alors pourquoi pas avec le tueur !
    T'as entièrement raison ! C'est pour ça que je suis venu !<o:p></o:p>


    J'eue la peur de ma vie. Je me retournai lentement et découvrit Kabuki. <o:p></o:p>

    Tu m'as fait peur !
    J'ai la preuve que c'est Nook qui a tué Dalma.
    Quoi ? *ma voix s'était étranglée*
    Oui ! J'ai fouillé un peu de mon côté et j'ai découvert que Dalma avait une énorme dette ! Et ce n'est pas que de l'argent !
    Explique-toi !
    Dalma a fait d'importants achats et a fait chanter Nook ! Elle avait découvert les sentiments qu'il éprouvait pour Cousette et menaçait de les dévoiler à...
    A qui ?!
    A Marine !
    Je ne comprends pas...
    Marine est de mèche avec Dorothée et elles ont créé une radio !
    Si Dalma le disait à Marine, Marine l'aurait dit à tous les auditeurs !
    Eh oui !
    C'est un alibi et non une preuve !
    La preuve, tu la veux ? Et bien c'est toi qui l'a ! Tu m'as tout raconté quand tu es venue chez moi ! Et tu m'as dit que tu avais la silhouette du tueur et que la connaissait sans la reconnaître...
    Tu as raison ! Il suffirait de comparer les silhouettes ! Mais il y a un problème : Nook a disparu !<o:p></o:p>


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  • Chapitre 4 :  Le soir, réflexion<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    Je venais de finir de dîner. Je m'assis sur mon canapé enfant et ouvrit le journal. Je lus une bonne heure avant de monter me coucher. <o:p></o:p>

    Plus je cherche moins je comprends !*pensais-je*Tout ce que je sais c'est que le journal m'apporte la solution sur un plateau d'argent !<o:p></o:p>


    Nouvelle réflexion. Pourquoi attaquer Cousette ? Et pourquoi le tueur ne l'a-t-il pas achevé comme pour Dalma ? Je revis la tache rouge dans le magasin de Nook. Un éclair de lucidité frappa mon esprit : et si... ?
    Je descendis quatre à quatre jusqu'au journal que j'ouvris. Je pris un passage au hasard : <o:p></o:p>

    "Ma petite vie tranquille me manque. L'argent, toujours l'argent... Et dire que j'ai fait passer les amis après cet argent qui brise les rêves !"<o:p></o:p>


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  • Chapitre 3 : Je passe à l’action<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    Trois jours... Trois longs jours avant de pouvoir aller sur les lieux du drame. L'aurore naissait à peine quand je suis sortie de ma villa. Je marchais vers la plage. Sur le sable, il ne restait que quelques tâches de sang éparses à moitié effacées par la mer. Je me penchais dans l'espoir de trouver quelque chose... Rien...

    L'après-midi était bien avancé quand j'entendis un cri à glacer le sang. Je courus dans la direction d'où provenait l'appel. Kabuki tenait une pelle entre les mains. Je regardais dans le trou qu'il avait creusé ; Cousette. <o:p></o:p>

    Que ce passe-t-il ? *cria Maret* Mais, qu'est-ce que c'est que ça ???
    Cousette !!
    Layette non !<o:p></o:p>


    Trop tard, la pauvre hérissonne serait dans ses bras le corps inerte de sa soeur. Maret prit le poul de la couturière et déclara qu'elle était seulement blessée et non morte. Toutes les personnes présentes furent soulagées. Moi pas. Quelqu'un s'amusait à vouloir répandre la mort et je ne voulais pas le laisser faire. <o:p></o:p>

    Dalma... Si seulement tu pouvais me dire qui t'as fait ça...<o:p></o:p>


    Je regardais la tombe de mon amie et eu comme un flash. Je courus chez Kabuki. Il parut surpris de me voir. Je le priais de me laisser fouiller chez lui. Il accepta, de plus en plus étonné.
    Je fouillais maintenant sous le plancher. Je passais ma main sous les lattes quand je sentis quelque chose. J'extirpais ce quelque chose et l'examina. <o:p></o:p>

    Ca ressemble à un journal intime !<o:p></o:p>


    Je regardais le journal et l'ouvrit à la première page. Il n'ya avait pas le nom du propriétaire, ni de date ni des noms de lieux mais l'écriture me semblait familière.<o:p></o:p>


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  •             Je me suis retournée en même temps que mes amis et nous vîmes Terror. Je sortis l'écaille de Youzanne. « Maman ? » La tristesse pris la place de la colère. Il était si triste. Je voulais le ramener à sa mère mais je ne pouvais plus lui faire confiance... « Elle me manque tellement et Pirann n'est pas là ! S'il te plaît : ramène moi à elle ! Ça rompra le pacte ! » Je me dis que ma gentillesse me perdra. Nous avions laissé les chevaux libres mais ils étaient sur cette montagne alors tout allait s'arranger. Tom partit prévenir les elfes de mon arrivée et de celle de Terror. <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

                Terror avait l'air si heureux de retrouver sa mère. Il avait hâte ! Youzanne n'eut pas la patience d'attendre que j'arrive avec son fils car je voyais son ombre arriver. Je montais en selle et partit aussitôt pour laisser tranquille la petite famille. On devait m'attendre au village. Mais un long hurlement me stoppa dans mon élan : la meute était de retour. Un sentiment de bonheur m'envahit soudain.


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>

                Orna m'expliqua ce qu'avait fait la lance : elle m'avait entièrement transperçait le corps juste à coté du coeur. La licorne Chasta avait reconstitué les chairs qui avait été endommagés mais que j'avais encore la cicatrice qui saignait.<o:p></o:p>

                Tom sortit le temps qu'Orna change le bandage et il revint aussitôt. Argonn arriva. « Je ne dérange pas j'espère ? » Quand on le rassura qu'il était le bienvenue il entra. Les banalités échangés il rentra dans le vif du sujet : « Plusieurs elfes pensent que tu es digne de suivre toi et ton ami s'il le souhaite un entraînement elfique. Veux-tu le faire ? »<o:p></o:p>

                Si à ce moment on me disais que j'étais la première fille au monde à avoir gagné 999 999 999 999 999€ au loto je l'aurais cru ! Un entraînement elfique ! Le rêve ! Mais un petit problème apparut à mes yeux : le village. Tom dit que si j'envoyais une lettre avec mes instructions il n'y aura aucun problème. Aussitôt dit aussitôt fait ! L'entraînement pouvait commencer. Même pour moi qui étais blessée ! Bonheur total pendant deux heures... courbatures gratuites pendant au moins une semaine ! Wolfgang et Simbad suivirent eux aussi un entraînement spécial : ils apprirent à s'aimer un peu... J'ai bien dit un peu... ils apprirent à soigner au cas où je tomberais malade, attaquer des ennemis plus nombreux et à affûter leur sens. Sans oublier le fait qu'ils allaient apprendre à être plus rapide !<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

                Le lendemain soir Youzanne était toujours de sortie. Pas moyen d'enlever le rubis entre ses deux yeux. Orna était hors d'elle. Quand je fus entièrement rétablie, Tom jugea qu'il était temps de partir. Les adieux furent courts mais tristes. Mon entraînement chez les elfes n'était pas fini mais je pouvais toujours revenir plus tard, quand Terror serrait de nouveau avec sa mère. Youzanne voulu me faire un cadeau. Une de ses écailles : « Terror hésitera à t'attaquer si il voit que tu es ma messagère. »<o:p></o:p>

                Les elfes nous donnèrent deux chevaux, des vivres et des épées. Le strict nécessaire quoi. Je m'en voulais un peu d'abandonner ce peuple et le village mais je devais tuer Pirann que je le veuille ou non. Tom avait prit la carte de Terror (le pays) et nous dit que Pirann devait être au nord. Wolfgang et Simbad avaient fait la paix. Un miracle ! Quand ils m'ont entendu le penser ils se regardèrent bizarrement...<o:p></o:p>

                <o:p></o:p>

                Trois jours de marche vers le nord et toujours aucune manifestation de Terror, Pirann et compagnie. Cette partie de la forêt était lugubre. Un mauvais pressentiment nous envahit Simbad, Wolfgang et moi. Tom, lui, semblait pensif.<o:p></o:p>

                            « Et si Pirann était retourné dans notre monde ?<o:p></o:p>

                            -C'est possible...<o:p></o:p>

                            -Il faudrait alors y aller pour vérifier.<o:p></o:p>

                            -C'est risqué ! On doit vous chercher partout !<o:p></o:p>

                            -Le louveteau a raison.... C'est trop risqué pour vous ! Moi on ne me connaît pas encore.<o:p></o:p>

                            -Il suffira qu'on prenne les rollers et deux laisses et en avant !<o:p></o:p>

                            -Eh ! C'est pas bête mais où trouver des laisses ?<o:p></o:p>

                            -Des morceaux de chaînes suffiront.<o:p></o:p>

                            -Je pense que le chaton a raison : des chaînes c'est solide mais pourquoi des laisses ?<o:p></o:p>

                            -Il t'arrive de lire dans les pensées ? Si tu avais convenablement regardé tu aurais vu ce qu'Alicia voulait dire !<o:p></o:p>

                            -Simbad.....<o:p></o:p>

                            -Tu as oublié un détail.<o:p></o:p>

                            -Lequel ? <o:p></o:p>

                            -Le fait que des centaines d'affiches ont du être posées partout en ville.<o:p></o:p>

                            -On ira de nuit.<o:p></o:p>

                            -Des patrouilles de police....<o:p></o:p>

                            -On prendra les ruelles les plus escarpées !<o:p></o:p>

                            -T'as réponse à tout ?<o:p></o:p>

                            -Oui ! »<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

                A la nuit tombée nous nous téléportâmes dans mon monde. Nous sommes descendus à la cave pour chercher des chercher des chaînes et deux paires de rollers. On ne savait pas trop où chercher pour savoir si Pirann était bien dans ce monde. Ce fut Wolfgang qui trouvas la solution la plus simple : « Au collège ils doivent mettre quand les profs sont absents non ? C'est juste pour savoir s'il travaille de nouveau mais il se peut qu'il ne travaille plus mais qu'il soit là... Ça veut rien dire. » Sa solution fut approuvée à l'unanimité.<o:p></o:p>

                Après avoir fabriqué des colliers de chaîne Tom accrocha 2m de chaîne au deux colliers pour que l'on ne soit pas séparé à cause de la police, des adultes et des animaux errants. Le plan qu'avait imprimé Tom représentait toute la ville et comme ça si on devait dérouter notre route nous ne serions pas perdus.<o:p></o:p>

                            « Le meilleur moyen d'y arriver rapidement c'est de passer par le centre commercial.                 -T'es folle ! Justement ça fait un détour !<o:p></o:p>

                            -Non non ! Regarde tu traverses le centre en passant par la porte sud et la porte est et tu te retrouves devant la primaire, tu rentres dans la primaire et tu passes par mon passage secret : la cave ! On fonce au bureau du principal et tu regardes les fiches du collège.<o:p></o:p>

                            -Mouais mais les caméras ?<o:p></o:p>

                            -T'es toujours aussi bon en informatique ?<o:p></o:p>

                            -Ouais mais je vois pas le rapport....<o:p></o:p>

                            -Mon père a un ordinateur portable planqué dans la cuisine : tu le prends avec quelques fils électrique et tu repasses en boucle la séquence du magasin vide.<o:p></o:p>

                            -C'est du piratage !<o:p></o:p>

                            -Tu vas faire une entorse au règlement.<o:p></o:p>

                            -Pourquoi tu dis toujours tu ?<o:p></o:p>

                            -J'ai pas fait exprès.<o:p></o:p>

                            -Tes deux penseurs adorés sont bien silencieux...<o:p></o:p>

                            -On pourrait passer directement par les sous-sols....<o:p></o:p>

                            -Le chatons a pas peur de l'eau ?<o:p></o:p>

                            -Sache que les tigres aiment l'eau.<o:p></o:p>

                            -C'est plus direct mais on a pas les plans des égouts !<o:p></o:p>

                            -Ton père travail toujours à la mairie ?<o:p></o:p>

                            -Oui.<o:p></o:p>

                            -Les plans des égouts devraient se trouver sur son portable alors !<o:p></o:p>

                            -Je vais chercher l'ordi et vous prenez des câbles, des chaînes en plus parce que si la police nous met des bâtons dans les rollers....<o:p></o:p>

                            -Compris ! »<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

                On était dans les égouts et Tom cherchait le logiciel des plans des égouts de la ville. Wolfgang et Simbad parlaient entre eux pour passer le temps. Mon père avait du jugé bon de mettre des mots de passe à tous les fichiers de la mairie ! Impossible d'ouvrir le moindre documents.... Mais Tom eu l'idée du siècle : utiliser mon prénom pour ouvrir le fichier et sa a marché : « Les parents utilisent souvent le prénom, surnom et tout ce qui va avec de leur enfants pour les mots de passe. »<o:p></o:p>

                D'après le plan nous étions à deux ''autoroutes des égouts'' du collège. Bien entendu on savait ce qui pouvait traîner dans les eaux troubles des égouts alors ça m’écœurais un peu. Nous faisions bien attention à ne pas toucher l'eau.<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

                En 7 minutes 27 secondes on était devant le collège. Nous avons sauté par dessus la grille et filé dans le bureau du principal. Tom se mit à chercher le dossier de Pirann parmi ceux des autres profs et il le trouva et le lit en entier. Il trouva l'infos qu'il nous manquait. Nous pouvions repartir. « J'ai bien fait de vous transmettre mon idée ! Il continue de travailler ici et il va travailler demain ! Je suis le meilleur !!! » Simbad lui fit remarquer que nous (c'est à dire que lui et moi) pouvions lire ses pensées et que nous aurions la lui piquer.<o:p></o:p>

                <o:p></o:p>

                Trouvant insupportable le fait de retourner dans les égouts nous allions passer par les rues. L'odeur du pain chaud à la boulangerie de la rue du collège me rappelait d'amer souvenirs. Simbad et Wolfgang me réconfortèrent. Mais en me rappelant tous ses souvenirs je me suis dit que nous pouvions passer chez Lola lui faire la peur de sa vie. Mais Tom trouvait l'idée idiote mais il n'avait pas le choix.<o:p></o:p>

                La maison de Lola était pas loin. Nous sommes entré dans sa chambre et l'avons réveillé. « Qui qui est là ??? » Wolfgang alluma la lumière.<o:p></o:p>

                            « Alicia ? Tom ??? Et.... quelle horreur !!! Des bêtes sauvages !<o:p></o:p>

                            -La ferme ! Tu vas rameuter tout le quartier !<o:p></o:p>

                            -Mais vous vous êtes enfuis !<o:p></o:p>

                            -Non nous sommes partis sauver des personnes.<o:p></o:p>

                            -Des armes ? Des épées ? <o:p></o:p>

                            -Oui nous avons appris à nous battre.<o:p></o:p>

                            -Pourquoi vous êtes venus me voir ?<o:p></o:p>

                            -Je peux lui faire peur ???<o:p></o:p>

                            -Simbad !................ C'est une excellente idée ! <o:p></o:p>

                            -Moi aussi je peux ?<o:p></o:p>

                            -Mais bien sûr !<o:p></o:p>

                            -Tu sais Lola c'est pas mon idée c'est celle d'Alicia !<o:p></o:p>

                            -AHHH !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!<o:p></o:p>

                            -Pas si fort !! Juste un bleu pas une fracture !<o:p></o:p>

                            -Désolés !! » Ils étaient sincères mais nous devions fuir de nouveau vers notre monde d'adoption.<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

                Nous avions atterris sur la montagne où Terror m'avait déposé. Je voyais un cercle de feu dans la forêt des elfes noirs. Un combat devait s'y dérouler. Simbad et Wolfgang comprirent que je voulais retourner là-bas mais nous devions tuer Pirann. « Que fais-tu là ??? » Même Tom entendu le message télépathique. La peur nous envahit.

    </o:p>

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